Dans la « Critique de la raison pure », publiée à la fin du siècle des Lumières, Kant explique que Copernic « ne s’est pas tenu immobile dans le désordre apparent du monde ». Il a su trouver en lui des ressources pour construire une nouvelle représentation du monde ; ainsi est née la conception héliocentrique.

Kant fait ainsi du monde non pas un concept, mais une idée, celle du non intégralement connaissable. Schopenhauer, dans « Le monde comme volonté et comme représentation » (1818), ira même encore plus loin.